L’éditorial du n°79
Osons un paradoxe : il faut beaucoup aimer les livres pour s’acharner à les détruire - ce dont ne se soucierait pas l’indifférence. Tout au moins faut-il leur reconnaître un…
Osons un paradoxe : il faut beaucoup aimer les livres pour s’acharner à les détruire - ce dont ne se soucierait pas l’indifférence. Tout au moins faut-il leur reconnaître un…